L’urgence écologique ravive les réflexions autour des techniques et notamment sur la question de savoir dans quelle mesure les techniques font partie du problème ou des solutions. Ceci nous amène à renouveler les débats autour de la neutralité de la technique, et à tenter de définir ce qui pourrait constituer une « bonne » technologie au vu de la situation actuelle. Dans ce contexte, les « low-tech » cherchent à proposer une approche des technologies soutenables d’un point de vue environnemental et social.

Au cours de cette conférence les intervenants proposeront un panorama des low-tech, qui laissera une large place aux échanges avec la salle, autour des questions suivantes : Qu’entend-on exactement par low-tech ? Comment les introduire dans notre quotidien ? A quoi pourrait ressembler une recherche sur les low-tech ? Peut-on faire de l’ingénierie low-tech son métier ? Quels sont les freins au développement d’entreprises ou de produits low-tech ? Qu’est-ce qui différencierait (ou pas) l’ingénierie low-tech de l’artisanat ?

Seront présents pour cette intervention :

  • Julian Carrey – Atélier d’Ecologie Politique (Atécopol), Laboratoire de Physique et Chimie des Nano-Objets (LPCNO), INSA Toulouse
  • Sébastien Lachaize – Atélier d’Ecologie Politique (Atécopol),Laboratoire de Physique et Chimie des Nano-Objets (LPCNO), INSA Toulouse
  • Olivier Lefebvre – Atélier d’Ecologie Politique (Atécopol), Toulouse INP

Sur inscription : https://framaforms.org/conference-quelle-place-pour-lingenieure-low-tech-dans-notre-societe-1674567536