Le contrôleur budgétaire régional et le contrôleur de la chancellerie qui assurent la tutelle des établissements d’enseignement supérieur viennent de valider tous les attendus contenus dans la délibération du conseil d’administration du 20 juin 2019 visant à une prise de participation de 10% au capital de la SA INSAVALOR.

Le conseil d’administration avait demandé à un groupe projet de préparer une pré-étude pour évaluer l’intérêt d’une filiale et d’une prise de participation à INSAVALOR. Ce groupe composé de membres issus du CA (C. Molina Jouve, I. Gerber, B. Carnel, M. Mercade-Loubière, tous les quatre élus, P. Cazeneuve personnalité extérieure, P. Stoecklin membre, DGS, C. Chassot invité, DRV) a travaillé pendant pratiquement un an à ce projet.

Le groupe a noué une relation étroite avec tous les personnels concernés afin qu’ils s’approprient tous les enjeux du projet.

Le groupe a veillé à ouvrir un temps de discussion très large avec l’ensemble des personnels afin de les associer à l’évaluation du projet. Dans ce cadre plus de 16 réunions ont été tenues, à Toulouse, à Lyon ou par des visioconférences. Près de 120 questions ont été posées par les personnels à la direction de l’INSA ainsi qu’à celle d’INSAVALOR qui ont répondu à chacune d’entre elles. Les élus du groupe projet ont tous loué la qualité du partenariat établi avec INSAVALOR, en effet la discussion s’est déroulée dans la clarté, l’honnêteté intellectuelle et la transparence.

Au cours des prochaines semaines, la démarche se poursuivra avec INSAVALOR afin de notamment opérationnaliser la mise en place de l’organisation, d’engager la formation des personnels à l’utilisation de l’outil de gestion… L’objectif est le démarrage d’INSAVALOR au 1er janvier 2020.

La validation par les tutelles de la délibération permet également de préparer la signature de la convention cadre entre INSAVALOR et INSA Toulouse qui fixe les grandes lignes du partenariat.

Au final ce projet vise à faciliter la gestion des contrats industriels pour les laboratoires, permettre de sécuriser les fonds INSA dédiés à la recherche, conjuguer une comptabilité publique – via le SAIC – avec une comptabilité privée pour une gestion de la recherche en phase avec ses besoins, adossée à un outil de gestion performant et ceci sans préjudice pour les personnels du SAIC et ceux impliqués dans la gestion des contrats de recherche.

La Direction